Université, composantes et services
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« Les sciences sociales apportent un autre regard sur la société et sur le monde »

Didier Breton, Marie Balas, Jean-Daniel Boyer et Nicolas Amadio (Faculté des sciences sociales)

La Faculté des sciences sociales compte plus de 1 600 étudiants, dont environ un tiers en première année. Une population de primo-entrants parfois fragile, dont la prise en charge est une des priorités du nouveau doyen de la faculté : Jean-Daniel Boyer, enseignant en Sciences économiques et sociales.

Quelle présentation faites-vous de la Faculté des sciences sociales aujourd’hui ?
Notre faculté regroupe six instituts : sociologie, démographie, ethnologie, polémologie (étude des conflits), intervention sociale, urbanisme et aménagement régional, ainsi que le Centre européen d'enseignement et de recherche en éthique (Ceeré). Elle compte plus de 1 600 étudiants, dont 500 environ en première année. Onze personnels administratifs et une cinquantaine d’enseignants-chercheurs forment ses équipes. Ceux-ci sont rattachés à deux unités mixtes de recherche : Dynamiques européennes et Sociétés, acteurs, gouvernement en Europe.
En termes d’organisation des études, la licence de Sciences sociales est constituée d’un tronc commun les deux premières années, puis d’une spécialisation en troisième année. Cette licence peut aussi se suivre en enseignement à distance. Neuf masters – dont le master Éthique – complètent l’offre de formation.
Il y a trois ans, la faculté a mis en place un parcours renforcé en licence. En plus des enseignements de sciences sociales, les étudiants y suivent des cours d’histoire, de géographie, de droit, d’économie, de philosophie. Ce parcours a été financé par un Idex au titre des formations d’excellence. Nous en espérons un effet d’aspiration vers le haut. En effet, si ce parcours attire de bons étudiants, notre mission est aussi d’accueillir et de former des publics plus fragiles.

Comment expliquez-vous cette concentration d’étudiants fragiles dans votre faculté ?
En première année, nous accueillons une proportion non négligeable d’étudiants arrivant à l’université avec des lacunes importantes ou titulaires d’un bac professionnel, qui ne prépare pas à la poursuite d’études universitaires. Sans doute optent-ils pour les sciences sociales car il peut leur sembler qu’il n’y a pas de prérequis de discipline (contrairement aux mathématiques ou à l’histoire, par exemple). C’est bien sûr faux : il faut maîtriser l’expression écrite, avoir un bon niveau de culture générale et avoir un goût pour la lecture, car il y a beaucoup d’ouvrages conceptuels à lire, et beaucoup de travaux rédigés à rendre. D’où leur grande difficulté.

À quoi mènent les études en sciences sociales ?
La licence est assez généraliste. Elle permet bien sûr de poursuivre ses études en master de Sciences sociales, ou d’intégrer des formations pour préparer les concours administratifs ou les concours de l’enseignement primaire ou secondaire.
Elle permet aussi une insertion professionnelle essentiellement dans le secteur social. La faculté propose d’ailleurs des formations plus professionnalisantes : un Deust Médiations citoyennes et une licence professionnelle forment ainsi aux métiers de la ville et du développement durable.
Après un master, selon la spécialité choisie, on peut devenir ingénieur d’études en démographie ou en études urbaines, chargé de mission dans la fonction publique nationale ou territoriale… Ce ne sont que des exemples. L’étudiant peut également poursuivre en doctorat.
Mais les sciences sociales apportent surtout un autre regard sur la société, une autre compréhension du monde.

Vous êtes élu depuis quatre mois. Quels sont vos projets pour la faculté ?
Ma priorité est d’arriver à assurer le quotidien avec des moyens restreints : globalement, nous sommes peu dotés en personnels et en moyens financiers, dans des locaux pas très avenants, ni très confortables, au Patio.
À moyen terme, il nous faudra aussi trouver des solutions pour aider plus efficacement les primo-entrants fragiles. La faculté a déjà mis en place un système de tutorat avec des étudiants plus âgés qui interviennent en TD. En lien avec Espace avenir, nous proposerons des stages de professionnalisation au second semestre, pour aider certains étudiants à entrer dans le monde du travail.
Un de nos projets est également d’améliorer nos formations. Nous travaillons ainsi sur la nouvelle offre de formation 2018.
Nous avons également l’ambition d’améliorer l’internationalisation de nos formations. Il y a aujourd’hui peu de cours en anglais, et beaucoup d’accords de partenariats internationaux, qui sont néanmoins souvent inactifs et qui demanderaient un soutien, notamment au niveau administratif, pour en faciliter le suivi.

Recueilli par Caroline Laplane

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Des contrats de financement innovants pour l’Opération campus

Michel Deneken, président par intérim de l’Université de Strasbourg, entouré d'Ambroise Fayolle, vice-président de la Banque européenne d’investissement (BEI) et Patrick François, directeur régional Grand Est de la Caisse des dépôts. Crédit : Baptiste Cogitore

L’Université de Strasbourg, à travers son président par intérim Michel Deneken, a conclu des contrats de financement avec deux grandes institutions bancaires publiques, la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Caisse des dépôts, lundi 24 octobre.

Ce coup de pouce financier de 150 millions d’euros permet à l’Université de Strasbourg de gérer sereinement son patrimoine bâti, à travers l’Opération campus. L’intervention de la Banque européenne d’investissement permet à l’Université de Strasbourg de bénéficier d’un prêt de 90 millions d’euros à des conditions financières attractives. La Caisse des dépôts met également en place en faveur de l’Université de Strasbourg deux types de prêts aux caractéristiques financières adaptées, d'un montant total de 60 millions d'euros. Ces opérations permettent à l’Université de Strasbourg d’optimiser au maximum l’utilisation des intérêts générés par la dotation Campus Strasbourg.
Depuis 2009, l’Université de Strasbourg est lauréate de l’Opération campus. Via la gestion par l’État d’un capital bloqué de 375 millions d’euros, l’université dispose potentiellement d’une dotation annuelle de 15 millions d’euros, à la discrétion de l’État. Depuis le 20 octobre 2016, cette dotation non consomptible et les intérêts qu’elle produit ont été transférés à l’Université de Strasbourg. Cette dernière dispose maintenant pleinement des intérêts pour la réalisation de l’Opération campus. Un dispositif qui lui permet de financer la rénovation, l’entretien et la construction de bâtiment sans grever son budget. Ce financement de l’État est complété par des participations des collectivités territoriales (Région Grand Est, Eurométropole de Strasbourg, Conseil départemental du Bas-Rhin). Ce montage financier a déjà permis la réalisation, entre autres, du réaménagement du parc de l’université, de la création de la Maison universitaire internationale ou de la construction des futurs Insectarium et Studium. Ce vaste programme de travaux se poursuivra jusqu’en 2023.

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Une bibliothèque unique pour les sciences historiques

Située au premier étage du Palais universitaire, la nouvelle bibliothèque de recherche en histoire ouvrira ses portes d’ici une dizaine de jours. Elle rassemble en un lieu unique les fonds de cinq instituts hier éclatés.

Elle a beau contenir dans ses rayonnages des sources et des ouvrages consacrés à des temps anciens, la nouvelle bibliothèque de recherche en histoire est à la pointe de la modernité. À la faveur d’une habile restauration, automate de prêt autonome, prises électriques individuelles et élégantes lampes de bureau côtoient désormais mezzanines et parquet boisés. Dans des pièces en enfilade « sont désormais rassemblés les fonds de cinq bibliothèques d’histoire : médiévale, moderne, contemporaine, d’Alsace et des religions », explique Vincent Chappuis, responsable des bibliothèques de sciences humaines et sociales.
L’éclatement des bibliothèques d’histoire aux quatre coins du Palais universitaire, rattachées à autant d’instituts, est un héritage de la disposition originelle à l'époque allemande. Très coûteuse en termes de personnels, cette organisation visait à être réformée depuis longtemps. « Nous partions de loin, puisque les fusions successives depuis les années 1990 nous ont fait passer de douze bibliothèques d'instituts à trois aujourd’hui : la bibliothèque de la Maison interuniversitaire des sciences de l’Homme-Alsace (Misha), celle de premier cycle (Palais U), rassemblant essentiellement manuels et ouvrages généraux, et cette bibliothèque de recherche, aux collections héritées des anciens instituts de recherche. »

Meilleur confort de travail

Première étape importante du projet de constitution d’une bibliothèque unique de recherche en histoire, dans les cartons depuis les années 1990 : le regroupement du fonds d’archéologie et d’Antiquité à la Misha, en 2008. Le pas supplémentaire franchi aujourd’hui n’a pu l’être que grâce au financement de l’Initiative d’excellence (370 000 €), venu s’ajouter aux fonds propres de l’université.
La concrétisation de ce « vieux rêve » de fusion, selon les mots de Benoît Tock, doyen de la Faculté des sciences historiques, offre de meilleures conditions d’accueil aux étudiants de master, doctorants et enseignants-chercheurs, à qui est destinée en priorité cette bibliothèque, grâce à des horaires d’ouverture élargis (9 h-18 h). Elle apporte aussi un confort indéniable au personnel du Service commun de documentation (SCD) et aux vacataires, puisque leurs bureaux sont intégrés à la bibliothèque. « Tout le premier étage du Palais universitaire bénéficie également de cette réorganisation, ajoute Benoît Tock. Salles de cours et bureaux des enseignants-chercheurs sont désormais répartis de façon plus logique. » Pour visiter ce nouveau joyau du Palais universitaire, il faudra encore patienter quelques jours : l’ouverture est prévue dans la première quinzaine de novembre, au plus tard lundi 14.

Elsa Collobert

La bibliothèque de recherche en histoire en quelques chiffres

900 m2 Aux 500 m2 de la bibliothèque se rajoutent 400 m2 de magasins, au rez-de-jardin du Palais U
90 000 Le nombre de volumes contenus dans le catalogue de la bibliothèque de sciences historiques
120 C’est le nombre de places assises offertes par les salles de la bibliothèque
1 600 Le nombre annuel d’heures d’ouverture de la bibliothèque, doublé par rapport à l’ancienne organisation

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Bibliothèque de recherche en histoire : un patrimoine valorisé et modernisé

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Nouveaux usages pour deux salles au Centre sportif universitaire (CSU)

La salle de combat a été transformée en vue de devenir un espace de cardio-training.

Peu utilisée en tant que telle, la salle d’armes du CSU a été transformée cet été en un espace permettant d’accueillir plusieurs types d’activités : boxe, fi­tness, relaxation, danse, tennis de table... La salle de boxe, quant à elle, a été rénovée en vue de sa transformation future en salle cardio-training

L'aménagement de la salle dite "multi-activités" permet ainsi « de répondre à une demande croissante des usagers dans certaines activités, tout en optimisant l'utilisation des installations sportives universitaires », se félicite Thomas Kedinger, directeur du Service des sports.
Le mois dernier, les travaux du CSU sont entrés dans une seconde phase : la salle de boxe, dont les équipements ont été déplacés, a été complètement refaite. À la rentrée 2017, cette salle devrait être équipée d'appareils de cardio-training et ce, toujours dans la perspective de satisfaire une demande importante exprimée par tous les usagers habituels de la salle de musculation : étudiants, personnels, athlètes de haut niveau, enseignants de la Faculté des sciences du sport.
L’université, qui réalise ces travaux, en a profité pour réaliser de petits – mais néanmoins utiles – aménagements : mise en place de clignotants pour les personnes malentendantes en cas d’évacuation ; changement des luminaires en salles d’arts martiaux, de combat et de musculation.

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Le 25 novembre en mémoire des rafles de 1943

Vendredi 25 novembre, la communauté universitaire se réunit pour commémorer les rafles d'étudiants et d'enseignants intervenues en 1943 à l’Université de Strasbourg, repliée à Clermont-Ferrand depuis 1939.

L’aula Marc-Bloch du Palais universitaire accueillera la cérémonie de commémoration des rafles de 1943, vendredi 25 novembre à partir de 11 h. Organisé avec le concours de la Faculté de droit, de sciences politiques et de gestion et de l'Institut du travail, ce moment offrira notamment à la communauté universitaire l’opportunité de rendre hommage à la mémoire de la professeure Hélène Sinay. Doctorante en droit, elle a soutenu sa thèse au sous-sol d'un cabaret de Clermont-Ferrand, parce qu'elle était juive. Sa famille a pu quitter Clermont-Ferrand à temps grâce à l'alerte donnée par le doyen de la faculté.

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« Sa vigne vierge, c’est l’identité de l’IBMC »

Rouge flamboyant à l’automne, vert luxuriant au printemps : l’habit de verdure de l’Institut de biologie moléculaire et cellulaire (IBMC) se remarque de loin ! Refuge de biodiversité et fierté des occupants de l’institut, qui se rappelle encore que cette vigne vierge fut plantée à l’origine pour contrer des tags importuns ?

D’aucuns la confondent avec du lierre, d’autres l’utilisent comme moyen d’identifier l’IBMC. Mais personne, sur le campus Esplanade, ne peut l’ignorer. Elle est même devenue un objet de fierté pour les occupants du « cube » regroupant trois unités propres du CNRS dédiées à la recherche en biologie moléculaire, et dirigé par Sylviane Muller depuis la rentrée. « Cette vigne vierge, c’est l’identité de l’IBMC ! » s’enthousiasme Magali Frugier, responsable d’une équipe du laboratoire Architecture et réactivité de l’ARN (UPR 9002). Lorsqu’elle constate que les travaux de construction du futur Insectarium, qui sera relié à l’IBMC, nécessitent d’arracher les pieds de vigne vierge sur sa façade nord, son sang ne fait qu’un tour. « J’espère que nous allons pouvoir la replanter ! »
À l’origine de sa plantation, il y a la colère de Jean-Pierre Ebel, le premier directeur de l’IBMC. « À peine sa construction terminée, en 1973, notre institut est devenu le support de tags de la Ligue communiste révolutionnaire, glorifiant "Mao" et "le camarade Krivine", se souvient Guy Dirheimer, alors professeur à la Faculté de pharmacie, spécialisé en toxicologie. Ayant une belle vigne vierge recouvrant chez moi un mur disgracieux, ma femme me suggéra d’en planter une à l’IBMC. Je soufflais l’idée au professeur Ebel, et la vigne fut plantée ! »
Aujourd’hui, ce tapis de verdure fait le bonheur de tout un petit monde animal : pies, merles, écureuils, attirés par ses fruits, mais aussi des colonies d’insectes… Pour une cohabitation avec les chercheurs pas toujours facile ! « Quelques araignées rouges, qui prolifèrent au printemps, sont même parvenues à se glisser dans nos bouteilles de solutions ! », déplore Guillaume Bec, ingénieur de recherche à l’IBMC depuis vingt ans (UPR 9002). Sans oublier les cousins et les punaises. « Mais depuis l'installation de la climatisation, ça s’est beaucoup amélioré. De toute façon, cette vigne est tellement jolie qu’on en oublie tous ces petits tracas ! » 

E. C.

À l'origine de la décision des responsables de l'IBMC de planter une vigne vierge : des tags qui défigurent la façade dès sa construction achevée...

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Du vert au rouge, l’IBMC en voit de toutes les couleurs !

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La VAE innove avec une plateforme d’accompagnement

L'équipe en charge du projet de la plateforme m-VAE : Emmanuelle Abraham, Anne Laidebeur, Valérie Ledermann et Céline Hoffert.

Accessible depuis le mois d’octobre pour les nouveaux candidats à la Validation des acquis de l’expérience (VAE), la plateforme baptisée m-VAE doit permettre aux nouveaux candidats de gagner en autonomie et de s’auto-former lors de l’élaboration de leur dossier.

Après neuf mois de conception, cet outil d’accompagnement disponible via la plateforme pédagogique Moodle est à disposition de tous les nouveaux candidats à la VAE qui le souhaitent. Ce projet a bénéficié du soutien de l’Initiative d’excellence et de la Direction des usages du numérique (DUN). Sa gestation, quant à elle, est le fruit d’un travail de plus de deux ans mené par l’ensemble du service et sa mise forme a été réalisée par Valérie Ledermann, dans le cadre de son stage de master 2.

Capitaliser sur les expériences communes

« Réaliser un dossier VAE, c’est mettre en lien son expérience avec le diplôme visé. Une formule simple qui, pour les candidats à la VAE, peut représenter un exercice complexe. Ce nouvel outil a pour objectif de renforcer l’accompagnement personnalisé proposé dans le cadre d’une VAE », explique Anne Laidebeur, responsable du projet et chargée d’ingénierie et d’accompagnement au sein du service de la VAE.
« Nous nous sommes rendu compte que les candidats rencontraient les mêmes difficultés sur certains points de méthodologie. Il s’agit parfois d’éléments basiques que nous devions répéter à chaque nouvelle candidature », commente Céline Hoffert, chargée d’ingénierie et d’accompagnement.
Avec Emmanuelle Abraham, la troisième personne chargée de l’accompagnement personnalisé des candidats au sein du service, elles ont mis en commun leurs expériences pour élaborer de multiples outils disponibles sur la plateforme. Chacun étant dédié à une phase déterminée dans le processus de construction du dossier.

Aider les candidats à se poser les bonnes questions

Les candidats choisissant l’accompagnement personnalisé retrouveront ainsi un ensemble de tutoriels, un glossaire… Autant d’outils qui les aideront dans l’organisation de leur dossier et dans l’analyse de leur activité. Un espace collaboratif leur permettra également d’échanger entre eux sur les problématiques qu’ils rencontrent.
« Il s’agit d’aider les candidats à se poser les bonnes questions, ce qui n’enlève rien aux contacts personnalisés. Cette plateforme constitue un outil méthodologique de plus au dispositif VAE, qui devrait nous permettre de nous concentrer sur notre cœur de métier : accompagner les candidats dans leur démarche analytique », conclut Anne Laidebeur.

Frédéric Zinck

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Réunions institutionnelles : calendrier 2016

 Novembre Décembre
Conseil académique
14 h - Mardi
 22  /
Congrès
14 h - Mardi
 / /
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 15 1*-13-15*
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU (ex-Cévu)
14 h - Mardi
 8 6
Commission de la recherche - CR (ex-CS)
14 h 30 - Mercredi
 16 /
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 2-29 /
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 / 2
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 28 /
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 21 /
Comité technique d'établissement
8 h 30 - Jeudi
 / 8
* Seuls les membres nouvellement élus (élections de novembre) seront concernés par ces deux dates de CA

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